Il n'y a pas de problème, il n'y a que des professeurs
Jacques Prévert |
BlogSkidz is my blog for students in French Foreign Language. It aims to enhance the lessons using ICT and captivate the cultural curiosity of young students.
Il n'y a pas de problème, il n'y a que des professeurs
Jacques Prévert |
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C'est pas nouveau, mais c'est un film qui parle de la nouvelle famille. Et beaucoup d'entre vous, l'avez peut-être vu. C'est quand même intéressant de le partager.
A l’heure des premiers amours, Léa, 12 ans, doit aussi gérer le divorce de ses parents et les joies de la garde alternée. Ah! Ça vous dit quelque chose?
Synopse:
Léa, douze ans, aurait aimé vivre dans une famille... Une famille où l'on ne se sépare pas, où l'on n'a pas deux maisons... une famille où la mère la comprendrait mieux, oû son père aurait un peu plus les pieds sur terre, et où son petit frère écolo ne lui reprocherait pas son temps passé sous la douche sous prétexte qu'il n'y aura bientôt plus d'eau aur la planète...
Cette anné-là, Léa entre en cinquème, Tandis que sion père et sa mêre tentent de reconstruire leur vie, elle va connaîtrre son premier amour, celui qui boscule les certitudes sur le monde, sur les parents, celui qui fait qu'on n'est plus jamais vraiment le même.
Cette année, chacun va peu à peu retrouver son équilibre et s'ouvrir aux autres...
Un nouveau film français de Ivan Calbérac qui se penche sur l'année scolaire d'une collégienne. Il ne cherche pas à brosser le portrait d'une génération, mais, à travers le personnage d'une Léa, se focalise sur la situation de famille et témoigne d'une évolution maintenant banalisée de la société française... et mondiale.
Ivan Calbérac raconte comment est né son long métrage: "J'avais envie depuis longtemps de faire un film racontant l'histoire d'une jeune fille de 12-13 ans, cet âge charnière où l'on quitte soudainement l'enfance, pour basculer dans l'adolescence.
C'est un moment de la vie où chaque chose marque mille fois plus, parce tout change, qu'on est déstabilisé, à vif, particulièrement sensible. Je voulais raconter une première histoire d'amour, filmer un premier baiser... Pour autant, je ne souhaitais pas uniquement me concentrer sur un portrait d'adolescente
(...)
Je désirais développer aussi l'histoire de chacun des membres de sa famille, la plupart du temps sous le regard ironique et imparable de cette pré-adolescente mais parfois aussi, en prenant la liberté de s'en échapper, pour mettre en parallèle d'autres points de vue. Dans le traitement du sujet, l'idée de départ était de garder une légèreté, d'essayer de développer une dimension comique qui se mêlerait à l'émotion."
Un film vraiment touchant Une semaine sur deux (et la moitié des vacances scolaires) raconte la vie des deux enfants, Léa 12 ans et son petit frère Maxime, ballottés entre leurs deux parents, vivant cahin-caha les bouleversements de leur séparation et ceux de la nouvelle vie qu’ils tentent de reconstruire chacun de son côté.
Une semaine chez papa (Bernard Campan), une semaine chez maman (Mathilde Seigner), c’est une histoire ordinaire de nos jours me diriez-vous. Mais le film montre bien à quel point cette mesure peut être infernale pour les enfants.
A la fin de la semaine, ils font leur petite valise, vivent un déchirement en disant au revoir à papa ou à maman, culpabilisent à l’idée de le ou la laisser seul(e), vont courageusement vivre une autre réalité chez l’autre parent, rencontrer le nouveau copain de maman, s’y faire ou pas, jusqu’à la fin de la semaine où ils font le chemin inverse.
Le film tourne aussi autour de l’adolescence de Léa, comme le directeur le dit. Une ado qui rencontre son premier amour, une histoire qu’elle tente de vivre le mieux possible parallèlement à sa vie de famille chaotique.
Le film date de 2009, mais pour ceux qui ne l'ont pas encore vu, je le recommande vraiment en DVD. Vous le retrouverez à petit prix.
Activités:
Une excellente ressource pédagogique à ne pas perdre pour parler des "nouvelles familles" et de la beauté de l'adolescence qui se répète, mais qui est toujours vécue par pas mal de jeunes. Et l'adolescence, tout le monde y passe. Et nos élèves, souvent, la vivent difficilement.
Dans un cours de langues au collège ou lycée, deux thèmes qui vont certainement enrichir votre leçon : la famille ; l'adolescence.
Mais avant de le faire voir, n'oubliez pas de bien préparer des activités à faire travailler aux élèves.
Si vous êtes un(e) élève et n'avez rien à faire, un dimanche après-midi, passez au club vidéo et faites une séance à la maison entre copains. Un film qui va vous faire parler entre amis de vos soucis ou joies et de vos relations avec vos parents.