Journée Internationale des Droits de l'Enfant
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Journée Internationale des Droits de l'Enfant
« Nous avons tous un jour été des enfants. Et nous avons tous le même désir d'assurer le bien-être de nos enfants, qui a toujours été et continuera d'être l'aspiration la plus universellement chère a l'humanité. »
UN
Alors, aujourd'hui, on célèbre la 25e Journée Internationale des Droits de l'Enfant adoptée par les Nations Unies.
En 1954, l’UN a recommandé à tous les pays d’instituer une Journée mondiale de l’enfance, qui serait une journée de fraternité mondiale et de compréhension entre les enfants, et d’activités favorisant le bien-être des enfants du monde entier.
Elle a proposé aux gouvernements que cette Journée soit célébrée à la date qui leur semblait la plus appropriée. Au Portugal et dans d'autres pays, on la célèbre le 1er juin.
crédits: Unicef
En France on la célèbre le 20 novembre. Créée en 1995 à l'initiative du Parlement français, la Journée internationale des droits de l'enfant a pour objectif premier de lutter contre les injustices perpétrées à l'égard des enfants dans le monde.
C'est en 1995 que le Parlement français a décidé de faire du 20 novembre la "Journée Mondiale de défense et de promotion des droits de l'enfant".
Cette journée internationale est un moment privilégié pour se rendre compte des nombreuses injustices perpétrées contre les enfants dans le monde. Elle tente aussi de faire valoir la convention internationale des droits de l'enfant de 1989.
Infographie: Unicef France
Alors, comment les enfants vivent-ils leurs droits au quotidien en France ? C’est cette question, jusque-là sans réponse, que l’UNICEF France a souhaité poser aux premiers concernés, en lançant une « Consultation nationale » inédite auprès des 6-18 ans, de février à juillet 2013.
22 500 enfants et ados ont répondu à notre appel… Voici les résultats !
Près d’un enfant sur cinq (17%) vit dans une situation d’intégration sociale précaire dont 7% sont « déjà pris dans un processus de disqualification sociale », selon le rapport.
On découvre aussi que 55% ont répondu "oui" à l’affirmation "je peux être harcelé ou ennuyé par d'autres enfants ou jeunes "dans le milieu scolaire."
Mais donnons la parole aux enfants et ados, dans ce cas à deux à Juliette et Axel: