Il n'y a pas de problème, il n'y a que des professeurs
Jacques Prévert |
BlogSkidz is my blog for students in French Foreign Language. It aims to enhance the lessons using ICT and captivate the cultural curiosity of young students.
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Saga culte du manga Fruits Basket, série emblématique du genre 'shojo' des années 2000 est rééditée en France. Dans l'histoire du manga, Fruits Basket occupe une place importante.
Dès sa première édition en France, en 2002, la série est devenu un phénomène, au style shojo manga, un régistre romantique plutôt destinéeaux jeunes filles
Ce genre se centre sur des histoires sentimentales d'ados et de jeunes adultes.
Dans sa trame, Fruits Basket a tout d’un shojo classique. L’héroïne, Tohru Honda, une orpheline de 16 ans, rencontre deux cousins dans son lycée et très opposés dans leur caractère : Kyo et Yuki Soma. L’intrigue se noue au cœur de ce triangle.
Résumé:
Les 23 volumes que comptait la série initiale revient maintenant dans une nouvelle édition de 12 doubles volumes. Avec au programme, des illustrations et des bonus inédits, mais surtout une impression de qualité supérieure faite à partir des originaux.
La série se passe autour de la relation que Tohru entretient avec chacun des deux garçons, avec en question centrale : qui va-t-elle choisir ?
Cette jeune fille terriblement seule, qui passe son temps à s’excuser d’exister, va surtout se voir adoptée par un véritable clan : la famille Soma, forte de son lot de cousines mystérieuses et de grands frères atypiques.
Mais ce qui a véritablement fait de cette série un succès rarement égalé par d’autres shojos – elle s’est vendue à plus de 2 millions d’exemplaires en France – c’est la malédiction qu’a jetée la mangaka Natsuki Takaya sur le clan Soma.
Yuki, Kyo et onze de leurs cousines et cousins se transforment en effet en animaux du zodiaque chinois à chaque fois qu’ils sont touchés par le sexe opposé. Une astuce qui permet à la fois de complexifier les relations sentimentales, de créer des situations comiques et dramatiques plus intenses et de ficeler les caractères des personnages en empruntant un peu au bœuf, au rat, au serpent, etc.
Natsuki Takya est née en 1973 à Shizukoa au sud de Tokyo. Sa vocation de mangaka s’est manifestée dès l’école primaire, influencée par sa grande soeur.
Elle débute sa carrière en 1991 en presse puis publie ses premières séries comme Geneimuso (1994) et Tsubasa wo motsu mono, Ceux qui ont des ailes(1995).
C’est en 1999 qu’elle commence son oeuvre majeure, Fruits Basket, qui connait un succès international et se voit même adaptée en dessin animé en 2001.
Sa vocation de mangaka s’est manifestée dès l’école primaire, influencée par sa grande soeur. Elle débute sa carrière en 1991 en presse puis publie ses premières séries comme Geneimuso (1994) et Tsubasa wo motsu mono, (1995).
C’est en 1999 qu’elle commence son oeuvre majeure, Fruits Basket, qui connait un succès international et se voit même adaptée en dessin animé en 2001.
Presque dix ans après la fin de Fruits Basket (1998-2006, au Japon), Natsuki Takaya a décidé de mettre un point final à la saga des Soma, en dessinant trois tomes de conclusion : Fruits Basket Another évoque ce que sont devenus les héros au travers de leur descendance aujourd’hui adolescente. A sa publication en 2015 au Japon, les fans étaient un peu déroutés, pour ne pas dire déçus.
Dès l’annonce de la parution, l’auteure, Natsuki Takaya, précisait que, s’ils pouvaient être mentionnés dans cette deuxième histoire, les personnages principaux ne feraient pas d’apparitions.
"L’auteure a dessiné Fruits Basket Another pour satisfaire le désir des lecteurs, qui voulaient savoir ce qu’étaient devenus les héros. C’est un peu comme le film qui a été fait après la série télé américaine Veronica Mars."
Delcourt-Tonkam, l’éditeur français de Fruits Basket
Il y a de nombreux spectacles pour le jeune public. Inès Fehner avec L.aime L. et Thomas Quillardet qui met en scène la pièce de Tiago Rodrigues Tristesse et joie dans la vie des girafes enchantent petits et grands.
Du 13 au 30 juillet sous un chapiteau abrité par de grands et beaux platanes, à l'École communale Persil-Pouzaraque, Inès Fehner propose l'une de ses pièces, L.aime L., un très joli texte qu'elle joue avec un partenaire très doué, Valentin Poey. La mise en scène est signée François Fehner.
Résumé:
En face d'une salle de bains, un garçon, une fille. La baignoire (vide) est une bulle de rêve. Les miroirs ne disent pas toute la vérité. On parle beaucoup d'amour dans ce très joli texte, mais on voit aussi deux comédiens adultes incarner avec une vérité saisissante, deux enfants qui ont beaucoup de graves questions à se poser.
"C'est vif, fin, drôle, sensible. Évidemment, parfois les enfants spectateurs sont tellement pudiques que les franches questions et les situations les embarrassent. Mais on rit, on est touché et les adultes comme les plus jeunes font leur miel de ce très joli moment."
Tout commence par la découverte de Girafe, petite fille surnommée ainsi par sa maman récemment disparue. Du haut de ses 9 ans, elle met à jour un enchaînement aussi logique que chaotique : « l'homme qui est son père » est un artiste au chômage, il ne parvient pas à « mériter de l'argent », ce manque d'argent lui interdit la télévision câblée « qui n'est pas un luxe parce qu'il y a des chaînes comme Discovery Channel ». Continuer à lire
"Thomas Quillardet dresse la cartographie fluctuante de son monde et des représentations qu'elle en a. Les quatre acteurs font avancer ce conte sans morale qui multiplie lieux et personnages pour faire grandir l'enfant. Sans savoir si le monde est trop petit pour sa grande taille, Girafe fera fi des échelles pour aller dans son sens : celui d'une vitalité apaisée, d'une confiance retrouvée où tristesse et joie se mêlent et fondent l'existence..."
Tristesse et joie dans la vie des girafes de Tiago Rodrigues, traduction Thomas Quillardet, est publié aux éditions Les Solitaires intempestifs.
Résumé:
"Girafe est une petite fille de 9 ans, c’est sa mère qui lui a donné ce nom, car elle est grande. Un peu sur le modèle de Candide, elle va de rencontre en rencontre, en traversant une Lisbonne dévastée par la crise économique. Elle est accompagnée par son ours en peluche suicidaire : Judy Garland."
En exposant à l'église des Célestins, Ronan Barrot choisit de tenir compte du cadre. Toujours sur le fil – ambiguïté du sens, ambivalence du ton – le peintre aiguise le paradoxe du lieu qu'il investit. Désacralisée, cette église porte néanmoins sa mémoire et continue de poser des interdits. Les braver, en jouer... ? A lire ici
La Tortue Rouge de Michael Dudok de Wit (2016) dont je vous ai parlé le dernir post, sera projectée, précédée d'un court-métrage de la série Les petits métiers de Kinshasa de Sébastien Maître (3'30 min)